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đŸ„‡ Acheter un bien immobilier dans un quartier populaire ?

Aujourd’hui je voudrais te parler de la situation que vit aujourd’hui un de mes coachĂ©s. Il cherche de la rentabilitĂ© Ă  tout prix.
Cela semble une Ă©vidence mais Il est plus ou moins facile de la trouver selon l’endroit oĂč tu investis. Pour sa part il a fait le choix d‘investir dans un quartier populaire que certains qualifient mĂȘme de « sensible ».  Bonne ou mauvaise idĂ©e, je te donne mon avis dans cet article accompagnĂ© d’une vidĂ©o rĂ©capitulative Ă  la fin.

Investissement immobilier : acheter un bien dans une zone sensible, une bonne ou une mauvaise idée ?

Afin de s’assurer un maximum de rentabilitĂ© en investissement immobilier, il est important de faire attention Ă  plusieurs critĂšres. Parmi cet ensemble de critĂšres, celui qui importe le plus est sĂ»rement la localisation du bien. À commencer par la rĂ©ponse Ă  une question primordiale : est-ce intĂ©ressant d’investir dans une zone sensible ou populaire ? RĂ©ponse tout de suite Ă  travers ce dossier.

La base de tout bon investissement locatif : une bonne localisation

Dans le monde du marchĂ© immobilier, la localisation joue un rĂŽle dĂ©cisif qui va grandement impacter sur votre rentabilitĂ©. Cette dĂ©cision a beau ĂȘtre complexe, elle reste tout de mĂȘme importante, voire primordiale pour tout investisseur.

Pourquoi ? Eh bien, parce que choisir l’emplacement idĂ©al (la ville, le quartier, etc.) va vous permettre de valoriser vos investissements et votre bien. Pour les locataires ou pour les acheteurs, ce simple dĂ©tail importe grandement pour dĂ©terminer s’ils vont acheter ou s’ils vont louer votre bien. Et si le bien en question peut devenir leur nouveau chez eux.

Ce qui nous amùne donc à nous demander une chose : est-ce qu’un bien immobilier dans un quartier populaire constitue une bonne localisation ?

Un quartier populaire, qu’est-ce que c’est ?

D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, lorsqu’on Ă©voque le terme de quartier populaire, on parle surtout d’un grand ensemble d’habitat social oĂč un ensemble d’habitants diffĂ©rents vivent et traversent des situations trĂšs hĂ©tĂ©rogĂšnes. Il peut s’agir d’immigrĂ©, d’employĂ©s, d’ouvriers, de chĂŽmeurs, de retraitĂ©s, etc.

En d’autres termes, un quartier populaire constitue l’opposĂ© des quartiers Bourgeois. Le quartier populaire, aussi appelĂ© la zone sensible fait partie de la ville, mais il s’en distingue en tout point. Il constitue surtout le lieu de rĂ©sidences de personnes qui militent pour bien vivre. Les hommes, les femmes et mĂȘme les enfants s’y battent pour amĂ©liorer au maximum leur mode de vie.

On peut donc affirmer qu’il est parfaitement possible de s’accommoder à une bonne vie dans un quartier populaire. Pour certaines personnes, la vie citoyenne et associative en est d’ailleurs beaucoup plus riche que dans les quartiers Bourgeois.

Mais, lorsque l’on se place en tant qu’investisseur, est-ce qu’investir dans un quartier populaire est une bonne idĂ©e ?

La rentabilitĂ© d’un bien immobilier dans un quartier populaire

D’un point de vue objectif, on remarque parfaitement que, sur le long terme, l’investissement locatif est beaucoup plus rentable dans les quartiers populaires.

En tant qu’investisseur, vous avez sĂ»rement dĂ» faire maintes recherches avant de vous lancer. Ce qui fait que, par la mĂȘme occasion, vous avez sĂ»rement dĂ» remarquer quelques faits indĂ©niables :

Dans les beaux quartiers, le prix d’acquisition des biens immobiliers est beaucoup plus onĂ©reux que dans les quartiers populaires. Et pourtant, l’écart qui sĂ©pare les loyers des biens dans un quartier populaire et dans de beaux quartiers n’est pas si significatif que cela. Ou du moins, ne justifie pas l’écart des investissements dĂ©boursĂ©s lors de l’acquisition du bien.

Prenons donc un exemple simple : sur Toulouse ou Marseille, l’écart des loyers en centre-ville et en quartier populaire n’est que d’environ 50 €. Or le faussĂ© qui sĂ©pare les prix d’acquisition de ces biens louĂ©s Ă  500 € (en centre-ville) et Ă  450 € (en quartier populaire °) est Ă©norme. En effet, en centre-ville, le prix d’acquisition peut aller jusqu’à 50 000 €. Ce qui constitue tout de mĂȘme un investissement considĂ©rable. Or, rĂ©ussir Ă  rentabiliser un tel investissement pourrait prendre un temps fou et prĂ©senter de nombreuses difficultĂ©s. Ici, le choix Ă  faire est donc Ă©vident : investir dans un quartier populaire est beaucoup plus rentable et donc beaucoup plus opportun.

Selon une Ă©tude dressĂ©e sur le sujet, il a Ă©tĂ© affirmĂ© que les quartiers les plus rentables sur 14 villes de la France sont des zones populaires et sensibles. Ce qui dĂ©montre une fois de plus qu’investir dans un quartier populaire est nettement plus attractif. Cette conclusion est le rĂ©sultat d’un calcul minutieux de la rentabilitĂ© locative potentielle brute. Un calcul qui s’est basĂ© sur les prix d’acquisition et les loyers de l’ensemble des quartiers de chacune de ces villes de la France.

GrĂące Ă  ce calcul, il nous a Ă©tĂ© possible d’affirmer que le rendement locatif brut le moins Ă©levĂ© se situe dans la capitale, sur Paris. Avec un taux de rendement de 4.9 %, le quartier de la Goutte d’Or situĂ© dans le 18e arrondissement. Il en va de soi que pour rĂ©ussir Ă  dĂ©gager un meilleur rendement, la meilleure chose Ă  faire est de s’éloigner de la capitale.

Vous pourrez par exemple virer un peu plus vers le Nord-Ouest en investissant dans un quartier populaire de Lille, un endroit oĂč vous pourriez atteindre les 7 % de rendement. Sinon, vous pouvez tout aussi bien investir dans un quartier sensible de Toulouse du nom de Mirail, qui propose une rentabilitĂ© pouvant aller jusqu’à 8 %. Ou Ă  Marseille avec un taux de rendement beaucoup plus attractif de 8.6 %.

D’autres critĂšres Ă  considĂ©rer avant d’investir dans un quartier sensible

Il est vrai que dans le monde de l’investissement, la rentabilitĂ© est un critĂšre primordial Ă  considĂ©rer. Cependant, pour assurer la bonne gestion de vos investissements, d’autres critĂšres sont Ă©galement Ă  prendre en compte.

Un quartier populaire en particulier a beau prĂ©senter 8 % de rendement, comme Ă  Marseille par exemple, il est important que vous alliez voir par vous-mĂȘme le bien en question avant de procĂ©der Ă  son acquisition.

Il faudra que vous fassiez attention Ă  plusieurs choses : est-ce que votre futur locataire ou acheteur pourra se sentir bien dans ce quartier ? Est-ce que ce bien prĂ©sente de bons historiques de locataires : est-ce que les anciens locataires y ont tenu longtemps ? Pourquoi est-ce qu’ils sont partis ? Est-ce que sur la toile, ou dans les environs du bien, des commentaires nĂ©gatifs ont Ă©tĂ© Ă©mis sur le bien que vous comptez acquĂ©rir ?

Avant d’investir dans un quartier sensible, il faudra que vous ayez une vue d’ensemble de ce que sera la vie dans ce bien que vous projetez d’acheter. En tout cas, de nombreux quartiers populaires possĂšdent de trĂšs bonnes rĂ©putations en France. Il y a notamment Marseille, Toulouse, Perpignan, Narbonne, etc.

L’importance du ressenti du futur acheteur ou du futur locataire

Nous l’avons affirmĂ© prĂ©cĂ©demment : pour mener Ă  bien votre investissement en quartier populaire, il est primordial d’aller faire un Ă©tat des lieux du bien. Vous aurez beau investir dans des quartiers populaires Ă  bonne rĂ©putation, si l’endroit choisi est inappropriĂ© et met le locataire ou l’acheteur mal Ă  l’aise, vous risquerez de rencontrer des problĂšmes Ă©thiques.

Si vous ne choisissez pas convenablement le quartier populaire ou sensible dans lequel investir, vous aurez nettement moins de chance de fidĂ©liser vos locataires. Des locataires qui se sentent mal Ă  l’aise dans un quartier populaire et sensible ne resteront jamais vraiment longtemps. Or, le fait d’avoir Ă  chercher des personnes pour les remplacer risquera de vous faire perdre du temps et de l’argent. Donc, il faudra Ă©galement beaucoup miser sur le ressenti du futur acheteur ou locataire.

Bref, investir dans un quartier populaire pourra vous permettre d’ouvrir de nombreuses portes. ParticuliĂšrement si vous trouvez l’emplacement idĂ©al et un quartier qui est susceptible de prendre beaucoup plus de valeur. Cependant, il est important de prendre en compte les besoins de l’acheteur ou du locataire afin de le garder un maximum de temps possible. Il faudra donc trouver le juste milieu entre la rentabilitĂ© et leur satisfaction.

Se renseigner sur un quartier : le meilleur moyen d’assurer son investissement en quartier populaire

Avant toute chose, il faudra que vous alliez vous-mĂȘme visiter le quartier en question. Se renseigner sur un quartier est le meilleur moyen pour vous de vĂ©rifier si le bien Ă  acquĂ©rir se trouve dans une bonne rue ou non. En tout cas, mĂȘme si investir en quartier populaire prĂ©sente des risques, les risques en question pourraient vous rapporter gros.

Voilà pourquoi il est important de ne rien laisser passer : pour éviter les catastrophes.

Nous vous conseillons donc d’avant tout vous fier Ă  ce que vous voyez et non aux « on-dit ». Ensuite, faites en sorte de toujours prendre en considĂ©ration les besoins de vos futurs acheteurs ou locataires. Chose qui va vous permettre de les garder pour un maximum de temps. Si besoin, vous pouvez parfaitement vous faire accompagner afin de parfaire votre investissement.

Pourquoi est-ce qu’il est beaucoup plus intĂ©ressant d’investir dans un quartier sensible ?

Pour vous aider Ă  prendre une dĂ©cision sur l’investissement en quartier populaire ou non, nous avons trouvĂ© bon d’effectuer une petite comparaison avec l’investissement dans les beaux quartiers.

Sur le moyen terme, il est clair qu’investir dans de beaux quartiers valorise votre bien et rassure vos acheteurs et locataires. Cependant, comme il l’a Ă©tĂ© dit prĂ©cĂ©demment, cĂŽtĂ© rentabilitĂ©, c’est beaucoup plus intĂ©ressant d’investir dans un quartier populaire.

Il y a par exemple, actuellement, des personnes qui ont rencontrĂ© beaucoup de succĂšs grĂące Ă  l’acquisition de plusieurs (10 Ă  50) biens locatifs dans un quartier sensible (eh oui ! Il ne faut pas oublier qu’acquĂ©rir un bien dans ce genre de quartier est nettement moins onĂ©reux). Leur business plan a donc Ă©tĂ© simple : acheter le plus de biens possible dans les quartiers sensibles ou intermĂ©diaires, rechercher un financement (s’autofinancer) et fixer le montant du loyer de telle sorte Ă  rentabiliser les investissements effectuĂ©s.

Vous ĂȘtes septiques ? Vous avez la possibilitĂ© de vĂ©rifier par vous-mĂȘme l’étendue des diffĂ©rences. Pour ce faire, on vous suggĂšre d’effectuer une petite visite des sites d’annonces immobiliĂšres. Vous pourrez constater par vous-mĂȘmes qu’un petit studio meublĂ© de 20 min 2 s Ă  Boulogne-Billancourt rapporte 4 % brut. Or qu’à Vanves/Bagneux/Malakoff, vous obtenez du 6 %. Il en va de mĂȘme pour Montreuil, Patin, etc. dans le Nord et Ă  l’Est.

Saviez-vous que l’investissement en appartement meublĂ© Ă©tait une possibilitĂ© plus qu’allĂ©chante pour assurer un maximum de rentabilité ?

Mais pourquoi ces diffĂ©rences au niveau de la rentabilité ? Eh bien, parce qu’en zone sensible, il y a nettement moins de pression locative et de pression Ă  l’achat. Ce qui diffĂšre totalement des secteurs bourgeois oĂč la demande a beau ĂȘtre forte, mais ne compense pas l’immensitĂ© des prix d’acquisition des biens.

Les risques d’impayĂ©s dans les zones sensibles

Lorsque vous avez conçu votre business plan, vous vous ĂȘtes surement dĂ©jĂ  posĂ© cette question : et si mon locataire ne payait pas ?

Bien Ă©videmment, les risques de loyers impayĂ©s existent. Cependant, une enquĂȘte sur le sujet en 2009 Ă  affirmer par exemple qu’en Seine-Saint-Denis, il n’y a pas plus d’impayĂ©s que dans les Hauts-de-Seine. Ce n’est bien sĂ»r qu’un cas parmi tant d’autres, toutefois, cela nous prouve que dans les deux cas (zones populaires ou beaux quartiers), les risques d’impayĂ©s sont toujours prĂ©sents.

Pour en savoir plus, on vous propose d’aller voir sur https://invest-preneur.com/blog/jachete-un-immeuble-avec-un-locataire-qui-a-disparu-et-loyer-impaye/

Afin d’éviter cela au maximum, la meilleure chose que vous pourrez faire sera d’opter pour les candidats prĂ©sentant les meilleures formes de garanties.

Sinon, sachez que dans les quartiers sensibles, la CAF se charge de vous verser une part importante du loyer. Donc, au niveau des risques d’impayĂ©s, investir dans un quartier populaire pourrait ĂȘtre beaucoup plus sĂ©curitaire.

Donc : est-ce qu’il faut oublier les beaux quartiers lorsqu’on se lance dans l’investissement immobilier ?

En fait, cela ne dĂ©pend que de vous : de vos objectifs et de votre situation personnelle. Si vous voulez pouvoir vous crĂ©er une source de revenue rĂ©guliĂšre et assurĂ©e, il est beaucoup plus conseillĂ© d’opter pour les secteurs populaires ou intermĂ©diaires. Si vous disposez d’un capital important que vous voulez faire fructifier et que la rentabilitĂ© n’est pas dans vos prioritĂ©s, les quartiers Bourgeois sont Ă  privilĂ©gier.

En effet, de nos jours, l’idĂ©e de vivre dans un quartier bourgeois rassure beaucoup plus les acheteurs. Ce genre d’investissement est pour eux beaucoup plus sĂ©curitaire, notamment grĂące au fait que la revente du bien sera beaucoup plus facile. Cependant, les risques de krach immobilier existent. Chose qui pourrait mettre en pĂ©ril l’ensemble de vos investissements. Sinon, Ă©tant donnĂ© que le secteur Bourgeois est alimentĂ© par les cadres, les chefs d’entreprises et les professions libĂ©rales, les risques d’alĂ©as conjoncturels existent Ă©galement. Vous l’aurez donc compris, investir dans les beaux quartiers est sĂ©curitaire, mais prĂ©sente tout de mĂȘme des risques de pertes phĂ©nomĂ©nales d’argent.

Donc, concrĂštement, quartier Bourgeois ou quartier populaire ? Il n’existe pas de bonne rĂ©ponse ou de mauvaise rĂ©ponse. Comme il l’a Ă©tĂ© dit prĂ©cĂ©demment, tout dĂ©pend de vous.

Vous ne disposez pas d’assez d’apports personnels pour assurer un autofinancement ? Vous ĂȘtes encore jeune ? Nous vous conseillons de vous tourner vers le secteur intermĂ©diaire Ă  base d’un emprunt Ă  long terme sur 20 Ă  25 ans.

Vous disposez dĂ©jĂ  d’un capital Ă  placer et vous ĂȘtes Ă  la recherche de nouvelles mĂ©thodes de placements ? Vous avez l’impression que vos investissements actuels sont en stand-by ? Tournez-vous vers l’investissement en quartier prisĂ©. Si vous disposez dĂ©jĂ  de votre rĂ©sidence principale et d’une Ă©pargne de prĂ©caution, les risques seront minimes. Et en cas d’extrĂȘme nĂ©cessitĂ©, la revente de vos biens sera beaucoup plus facile.

Vous ne possĂ©dez pas de rĂ©sidence principale ? Optez plutĂŽt pour l’investissement dans un bien locatif dans lequel vous pourrez ensuite habiter.

VidĂ©o d’accompagnement

Résumé de la vidéo

 

Aujourd’hui nous allons voir s’il est opportun d’investir dans un quartier populaire pour y faire une colocation, location courte durĂ©e ou immeuble de rapport. 

L’objectif affichĂ© c’est de chercher de la rentabilitĂ© Ă  tout prix, quitte Ă  prendre plus de risque. 

 

Investir dans un quartier populaire, voire sensible : bonne ou mauvaise idée ?

 

Quand tu commences Ă  faire tes recherches, tu te rends compte que :

  • les prix sont plus Ă©levĂ©s dans les beaux quartiers que dans les quartiers populaires
  • Cependant, les loyers ne diffĂšrent pas tellement (on voit rarement des diffĂ©rences de plus de 20%)

Si on prend l’exemple d’une colocation sur Toulouse ou Marseille entre 500€ en centre ville de Toulouse ou  450 € dans un quartier populaire vu la diffĂ©rence du prix d’achat qui peut ĂȘtre de 30, 40 Ă  50 000€ pour une surface Ă©quivalente, les calculs de rentabilitĂ© sont vraiment significatifs ! C‘est pour cela que de nombreux investisseurs vont investir dans les quartiers populaires car ce qui leur importe c’est le cash flow qu’ils vont gĂ©nĂ©rer.

J’ai moi-mĂȘme achetĂ© un bien immobilier dans un quartier populaire Ă  Marseille qui a pris beaucoup de valeur Ă  ce jour car l’immeuble est situĂ© du bon cĂŽtĂ© du quartier. MĂȘme dans un quartier populaire, il faut faire attention oĂč tu veux investir. Certains investisseurs n’ont pas de problĂšme Ă  trouver des locataires dans des quartiers difficiles. Leurs colocations leur permettent mĂȘme de dĂ©gager beaucoup plus de cash flow.

Dans les faits, les colocataires qui louent dans ces quartiers sont souvent des étrangers qui recherchent les universités à proximité et ne connaissent pas forcément les quartiers « à éviter » dans une ville tel que tu le lirais dans des forums en ligne. 

 

Plusieurs critĂšres importants

 

Il ne faut pas se baser seulement sur la notion de rentabilité; il faut prendre en compte plusieurs facteurs tels que :

  • aller sur place voir plutĂŽt que se baser sur les “on dit”
  • le fait de se sentir bien ou pas dans le quartier
  • beaucoup de changements de locataires
  • des commentaires nĂ©gatifs 

 

NĂ©anmoins, beaucoup de quartiers populaires peuvent ĂȘtre prĂ©curseurs de trĂšs bonnes affaires dans des villes comme :

  • Toulouse
  • Marseille
  • Perpignan
  • Narbonne

Et je peux te dire cela par pure expĂ©rience personnelle et par les retours des Invest-Preneurs que j’ai formĂ© ces derniĂšres annĂ©es.

 

Le ressenti personnel 

 

Pour investir dans un quartier populaire, il faut aller voir sur place surtout si c’est pour y vivre. Investir dans des quartiers qui “craignent” dans lesquels on ne se sent pas Ă  l’aise pour y vivre me pose un problĂšme d’éthique mĂȘme si le cash flow peut ĂȘtre trĂšs intĂ©ressant.

De toute façon si tu investis dans un quartier populaire ou sensible, les colocataires ne resteront pas forcément trÚs longtemps. Le fait de chercher à les remplacer demande plus de temps, plus de travail., ce qui impactera forcément ta rentabilité et ta santé ! 

En somme, investir dans un quartier populaire peut permettre de faire de trĂšs belles opĂ©rations surtout si ce quartier est amenĂ© Ă  prendre de la valeur. Cependant cela doit se faire en ayant de l’empathie pour tes futurs locataires. Le meilleur compromis tu trouveras entre rentabilitĂ© et satisfaction des locataires et au mieux se porteront tes finances et ton stress en tant qu’Invest-Preneur ! 

 

Conclusion

 

En conclusion, si tu veux acheter un bien immobilier dans un quartier populaire, il est primordial d’aller sur place car d’une rue Ă  l’autre ce n’est pas du tout la mĂȘme ambiance.

Investir dans un quartier populaire est un risque Ă  prendre. Comme tous les risques il peut s’avĂ©rer payant (trĂšs payant mĂȘme dans mon cas !) ou bien tourner Ă  la catastrophe. C’est pour cela que :
  • Tu dois te fier Ă  ton instinct mais pas Ă  ton hubris
  • Tu dois faire preuve d’empathie vis-Ă -vis des futurs locataires pour les conserver Ă  long terme et maximiser ton cashflow
  • Tu dois te faire accompagner si tu n’es pas certain d’avoir toutes les connaissances pour parvenir Ă  rĂ©ussir ton investissement ultra rentable
Tout est question de risque de pari :chacun est libre de faire ses propres paris plus ou moins risquĂ©s.  Le risque va avec la rĂ©munĂ©ration qui va derriĂšre. Pour ma part je n’ai pas un profil d’investisseur accĂšs sur le risque et pourtant j’arrive Ă  dĂ©gager de la rentabilitĂ© et du cash flow intĂ©ressants.

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