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Comment se libérer des croyances limitantes ?

Tout homme mérite d’être heureux et de vivre en toute liberté. La liberté dont il s’agit ne se limite pas à l’indépendance financière. Elle prend en compte plusieurs paramètres. Pour cela, elle peut sembler difficile à atteindre. Pourtant, il suffit de faire les bons choix pour l’avoir. Certaines personnes peuvent imaginer en fait qu’elles n’y arriveront jamais. En réalité, ce sont des pensées limitantes qui occupent leur esprit et qui ont des conséquences néfastes sur elles. Ces types de pensée seront aussi la cause de leur échec. En réalité, les croyances limitantes sont souvent absurdes et n’existent que dans votre tête. Elles sont souvent démesurées que ce soit sur le plan émotionnel, mental, physique ou du domaine de l’intuition. Il est donc important de se libérer de ces croyances limitantes afin d’atteindre la liberté qui vous rendra heureux véritablement.

Définition de la liberté

Croyances limitantes La liberté interne est primordiale
Croyances limitantes – La liberté interne est primordiale

Quand vous êtes vous senti libre par rapport à votre employeur ou libre de parler? Il est vrai qu’investir dans l’immobilier est rentable mais il n’y a pas que cela qui vous conduise à la liberté. Il faut donc retenir que l’objectif que l’on poursuit en investissant en immobilier n’est pas de gérer les locataires mais de devenir libre dans la vie. Il faut donc se poser la question pour savoir quand on s’est senti libre pour la dernière fois.

Qui a décidé qu’on devrait travailler huit, dix ou douze heures par jour, cinq sur sept jours par semaine ou onze mois dans l’année ?. Qui choisit en réalité ces règles ? Sachez qu’à la base, elles répondent à certains besoins économiques et nous les subissons. L’essentiel ici est de faire les bons choix. L’objectif de cet article est de vous montrer qu’il est possible de faire les bons choix et de faire les choses correctement afin de se créer cette liberté.

Croyances limitantes : Situation du sujet

Cette réflexion est tirée d’une histoire d’un jeune garçon qui est au collège et qui va en cours. Il est assis pendant des heures à s’ennuyer. Il n’arrive pas à être dans le système à gagner de l’argent comme ses parents. En effet, il s’est fait rattraper par le système constitué par école, études, famille, diplôme, travail dur, boulot et promotions. C’est cet ensemble qui nous pousse dans le cycle du boulot-maison-dodo dont la plupart se plaignent. Selon la sensibilité de chacun, cela conduit vite au burnout. A 30 ans par exemple, il arrive au burnout.

Cela l’amène à réfléchir et à chercher des possibilités pour sortir de cette situation. Ainsi, de 30 ans à 40 ans, il tentera plusieurs expériences dans l’intention de sortir du cycle de boulot-métro-dodo. Ainsi, il est parvenu à atteindre ses objectifs et réaliser ses rêves comme il les percevait. C’est ce sujet que développe le présent article. Peut-être que vous êtes dans la même situation que ce jeune garçon qui avait des rêves dans son enfance mais qui s’est fait rattraper par le système.

Ce dernier a été pensé et conçu par certaines personnes pour répondre à d’autres objectifs. Mais en faisant les bons choix, vous parvenez à créer votre liberté. On est libre de ses décisions. La vie est plus épanouissante quand on a la capacité de dire « non » et de prendre ses décisions en étant libre des conséquences de ses choix. L’idée première de  cet article est de vous aider à redevenir maître de votre temps et de votre liberté.

Croyances limitantes : Diverses réactions sur le sujet

De nombreuses personnes se rendent également compte de cet état de choses mais spécifiquement après le début de la période de Covid. C’est en effet une prise de conscience par rapport à la valeur de la liberté et par rapport au fait qu’il ne faut pas se limiter à un CDI. Il faut surtout savoir les raisons pour lesquelles on pose des actes, ce qui permet d’avoir l’indépendance. Pour quelqu’un d’autre, le fait qu’il se soit lancé dans l’immobilier est lié à la perception de l’importance de ne pas se limiter au CDI. Ce dernier peut être suspendu ou peut prendre fin à tout moment et Covid nous l’a largement démontré.

Il faut retenir que diverses motivations nous conduisent à investir dans l’immobilier. Mais, l’idée est d’être libre de ses choix de ses décisions ne pas être tributaire et surtout d’être en sécurité. La sécurité est en rapport avec vous-même et non avec la santé financière de l’entreprise. Elle ne dépend donc pas de la robustesse ou non de l’entreprise. La sécurité qui dépend de vous passe par la compétence, la connaissance, l’information et de l’action.

De quoi parle l’article ?

Le présent article développe les différentes étapes pour être en sécurité. Il faut noter que la sécurité s’obtient en respectant quelques étapes. La première étape est relative à la confiance en soi et en ce que vous voulez faire. Il faut croire que ce que vous souhaitez faire est possible. Il faut avoir l’état d’esprit qui vous amène à agir. C’est ce qui vous amènera à avoir des résultats différents de ce que d’autres personnes peuvent avoir.  En effet, on est capable de penser, d’agir, de maîtriser son cerveau et d’implémenter des actions différentes. Nous développerons à ce niveau la notion de forte croyance et d’état d’esprit pour avancer sur ce qui vous importe.

Le formatage de la société et ses conséquences sur nous

La société nous met dans un système où nous n’avons plus le temps à consacrer à nous même ni à notre famille ou à nos enfants. Dans la majorité des cas, on ne prépare pas l’avenir, car on n’investit pas et on risque notre santé dans une course effrénée pour gagner notre vie. A un moment donné de la vie, pour certaines personnes, nous risquons notre vie ou on reçoit un déclic qui nous amène à réfléchir autrement et à nous poser les bonnes questions.

Qu’est-ce que je veux dans ma vie ? Quel est mon but ? Quelles sont les vraies valeurs ? Qu’est-ce que je dois faire pour changer ma vie pour qu’elle ne retombe plus dans le système établit par la société ? Pour faire face à tout cela, il est important de passer du mindset du salarié pour atteindre le mindset de l’entrepreneur. Entre les deux mindset, il y a un fossé énorme qui est surtout basé sur des croyances limitantes.

Concept des croyances limitantes

Les croyances limitantes sont cautionnées par plusieurs facteurs. Je vous invite alors à analyser et à déterminer tous les conditionnements autour de vous. Il est donc primordial de regarder et de déconstruire tous vos conditionnements que vous avez pu avoir par rapport à votre environnement. Il peut s’agir de vos amis, de votre famille, de vos collègues de travail ou même des lieux d’exercice de votre fonction. En effet, il est important de savoir qu’un lieu peut également influencer grandement votre manière de penser. Par conséquence, il influence votre manière d’agir ou de vous comporter. En d’autres termes, nous sommes tous impactés par notre environnement ainsi que par les divers facteurs cités plus haut.

En réalité, ce conditionnement nous l’avons déjà acquis depuis que nous sommes petits ; que ce soit l’environnement social dans lequel vous vous retrouvez, les personnes que vous fréquentez. Cela peut notamment commencer par vos parents et le type de discussion que vous avez souvent eu avec eux. Il peut aussi s’agir de vos camarades d’école du primaire, du collège ainsi que des situations dans lesquelles vous vous êtes fréquemment retrouvé quand vous étiez petit ou petite. Lorsque vous grandissez, cela est encore plus accentué par les personnes que vous écoutez, celles que vous copiez et celles qui vous inspirent.

On affirme à juste titre que vous êtes la somme des cinq personnes que vous côtoyez le plus dans une journée. Imaginez donc un instant que vous n’êtes entouré que d’entrepreneurs ou de personnes qui sont motivées pour aller chercher leur propre liberté. Dans ces conditions, vous deviendrez facilement la sixième personne qui va aller dans ce sens-là. Oui, cela vient tout naturellement, car vous réfléchirez exactement comme ces personnes, et vous serez amené à faire les choses qu’elles font.

Il est donc normal que vos perspectives de l’échec changeront également, et vous comprendrez qu’il n’est point question d’autoflagellation. En effet, tout échec représente par exemple une opportunité de trouver une meilleure méthode qui fonctionnera pour une situation particulière. Stipulé ainsi, il appartient donc à chacun d’identifier ce formatage qu’il a pu subir dans son environnement jusque-là, afin d’aller chercher des méthodes différentes pour des résultats variés en lien avec son épanouissement.

Quelques autoflagellations en lien avec les croyances limitantes

Croyances limitantes - Changez votre mindset de salariéCroyances limitantes – Changez votre mindset de salarié

L’idée ici est de vous interroger pour voir justement dans quel schéma vous devez-vous projeter. Souvent, retenez que lorsque vous avez des peurs ou des croyances limitantes qui reviennent, elles sont quelque part légitimes. Cela signifie que vous ne pouvez pas commencer à changer de vie sans voir dans quoi vous vous êtes conditionné. Ici, le but est de reconnaître ces schémas en question, d’aller les regarder et de chercher à savoir ce qui se joue derrière. La plupart du temps, les programmes qui mènent à cela, vous les connaissez forcément tous.

Programme du « Oui, mais … »

A titre indicatif, le premier programme est le plus connu en France, et c’est le Programme du « Oui, mais … ». En effet, à chaque fois que vous voulez entreprendre, investir ou faire quelque chose de nouveau ou d’inhabituel, quelqu’un dans votre entourage vous décourage. Parfois, vous-mêmes quelques fois, vous vous auto-sabotez. Vous le ferez en disant par exemple : « Oui, mais si je fais ça, si j’investis là, … ».

Dans cette idée du « Oui, mais … », on a une écoute active qui se développe, mais uniquement dans le but de répondre. Autrement dit, on n’écoute pas ici pour comprendre. Imaginez un instant quelqu’un dans votre entourage ou votre enfant qui vient vous voir et qui vous dit qu’il voudrait investir. Et vous, à votre tour, vous lui dites : « Oui, mais si tu investis là, il va se passer ceci, il va se passer cela, et ainsi de suite ». Il faut savoir qu’à chaque fois que vous mettez un « Oui, mais … » ou une conditionnalité dans vos actions, vous vous autolimitez à avancer.

Retenez alors que cette autolimitation est celle qui détruit le plus, les projets, les rêves et les ambitions au niveau de l’entrepreneuriat. De nombreuses personnes ne sont pas parvenues à réaliser leurs idées simplement parce qu’elles ont été très tôt influencées et  limitées par les croyances des parents, des collègues ou des amis qui, parfois, n’ont jamais réussi dans le domaine en question. Rappelez-vous, on n’enseigne que ce que l’on a appris ou que ce qu’on connait. On ne saurait donc argumenter sur ce qu’on ne maîtrise pas. Alors, il est compréhensible que les personnes autour de vous émettent des réserves par rapport à des idées nouvelles auxquelles nul n’a peut-être jamais pensé auparavant. Il en est de même pour vous-même.

Programme de « J’ai l’impression que … »

Permettez-moi de vous citer  d’ autres expressions ou phrases que vous connaissez certainement. Par exemple, chaque fois que vous parlez de quelque chose, vous vous exprimerez en disant : « J’ai l’impression que … ». Cette expression qui est courante, est un Programme qui sous-entend que vous dites « Je ressens un flou que je n’arrive pas à exprimer ». Plus, vous mettez de flou dans votre tête, plus le flou augmente dans vos projets également. Comme le dit si bien l’un de mes mentors, un objectif flou mène toujours à une connerie précise. Donc, si vous n’avez pas clarifié vos pensées par rapport à cela, vous serez toujours dans le schéma « J’ai l’impression que … ».

Programme de « Je ne suis pas assez ou je suis trop … »

Il existe aussi les fameux « Je ne suis pas assez ou je suis trop … ». Alors ici, retenez que « Je ne suis pas assez … » représente les personnes qui font constamment des efforts. Ces personnes travaillent tout le temps. C’est aussi le genre de personnes qui peut vous préparer un dossier pour la banque et le multiplier en quatre voire cinq exemplaires, au cas où l’un brûle ou au cas où il le perd ou encore au cas où il l’oublie au bureau. Ce genre de personnes va refaire ses PowerPoint cent fois pour être sûr que le formatage est bon.

Lorsque vous vous retrouvez dans ce schéma, vous avez constamment le sentiment de ne pas être assez à la hauteur ou assez fort pour réaliser les choses qui vous tiennent à cœur. In fine, plus vous trainez dans ces schémas de « Je ne suis pas assez ou je suis trop … », plus vous vous construirez ces croyances limitantes. Et ces croyances finiront indubitablement par limiter vos actions.

Programme de « Je n’y arriverai pas … », « Je ne suis pas capable … », « Je ne suis qu’une merde … », « Je suis nul … »

Nous avons également les expressions comme « Je n’y arriverai pas … », « Je ne suis pas capable … », « Je ne suis qu’une merde … », « Je suis nul … ». Lorsque vous utilisez ces expressions, vous êtes dans le jugement total ; ce qui en quelque sorte ne vous arrange pas. Ces expressions créent en fait des blocages dans votre tête. Elles vous font penser que vous ne pouvez pas y arriver. Ainsi, elles vous empêchent d’agir. Autrement dit, elles vous maintiennent dans un état statique de peur et de crainte.

Vous préférez alors vous réfugier dans votre zone de confort qui est beaucoup plus à facile à gérer et à contrôler. Toutefois, cette zone est moins enrichissante et vous apprend très peu sur vos réelles capacités et potentialités. En effet, il existe un grand fossé entre ce que vous pensez pouvoir faire et ce que vous pouvez réellement accomplir.

Je peux vous dire  : « vous êtes capable de tout faire » ; et ce, à condition que vous preniez simplement conscience de votre zone d’excellence. L’idée est de vous amener à identifier ces mécanismes et ces comportements qui vous ont freiné jusque-là, et à parvenir à transformer ces challenges en opportunités d’apprentissage. Vous devez donc arriver à ne plus du tout utiliser le « Mais » par exemple dans vos phrases à l’avenir. A partir du moment où votre cerveau intègre ce nouveau paradigme et cette nouvelle manière de fonctionner, vous avez un pouvoir qui devient illimité. A partir de cet instant, vous voyez les choses sous un nouvel angle avec des perspectives plus confiantes.

Croyances limitantes : Les pièges de la pensée

Parlons à présent des pièges de la pensée. Il s’agit d’une loupe grossissante sur vos erreurs et sur ce qui n’est pas bon en vous. En d’autres termes vous utilisez cette loupe pour amplifier uniquement les choses que vous n’avez pas réussies dans le passé ou les domaines dans lesquels vous avez connu des échecs. Cette manière de vous comporter vous défavorise fortement et vous pousse constamment à l’abandon et à ne plus avoir confiance en vous lorsque vous démarrez un nouveau projet. Alors, ce que je vous conseille ici est de déplacer cette loupe pour la placer plutôt sur votre zone d’excellence. Ainsi, vous commencerez à grossir ce qui est très fort en vous. Pour y arriver, je vous donne quelques astuces pour reconnaître les moments adéquats d’utilisation de cette loupe.

Astuces pour reconnaître les expressions de pièges de la pensée

En premier lieu, les croyances limitantes sont souvent absurdes. Elles n’existent souvent que dans votre tête et sont souvent démesurées. Cela peut se remarquer à la fois sur le plan émotionnel, mental, physique et sur le plan d’intuition. Par exemple, quand vous arrivez dans un appartement et que vous avez un coup de cœur, vous sentez qu’il y a un élément qui vous intéresse. En fait, l’endroit vous attire particulièrement peu importe les nombreuses charges et les opérations d’aménagement à effectuer avant d’emménager.

En d’autres termes, votre intelligence fait un excès de vitesse en vous disant que c’est cela que vous devez faire. Dans une telle situation, vous remarquerez alors que la plupart du temps, votre mental reviendra vous rappeler les nombreux travaux à faire, ainsi que les diverses charges liées à l’appartement. Ainsi, vous vous coupez de cette intuition qui, généralement (dans 90 % des cas), est la bonne. En effet, l’intuition ne vous donne souvent pas la logique des choses, mais elle vous dit simplement que quelque chose est bien pour vous. Le mental quant à lui vous présente automatiquement les choses qui ne fonctionnent pas ou qui ne fonctionneraient pas.

En d’autres termes, le pire ennemi que nous pouvons avoir, c’est notre mental. C’est lui qui nous limite dans la majorité des cas, et c’est donc celui qu’il faut parvenir à combattre et à maîtriser. Malheureusement, plus de 75 % des personnes ne le soupçonnent même pas. C’est la raison pour laquelle il agit fortement sur le manque de résultats de bon nombre de personnes qui se retrouvent avec des regrets et des remords quant aux choses qu’elles auraient pu ou dû faire dans leur vie. Alors, à partir du moment où vous parvenez à être dans l’accueil de votre mental, de vos émotions, et de votre intuition, il s’installe automatiquement un rééquilibrage dans votre corps et dans vos actions.

L’idée revient donc à ne pas donner démesurément de place à votre mental. Vous ne devez pas non plus donner démesurément de place à votre intuition et à vos émotions. Mais il vous faut plutôt travailler en collaboration avec ces trois parties qui sont entièrement intégrées dans votre être. Vous remarquerez que souvent, lorsque vous laissez trop de place à votre mental, les limitations apparaissent. Il en est de même émotionnellement. Lorsque vous vous dites par exemple que vous faites un achat coup de cœur, c’est du gâchis en termes de travaux préparatoires et de charges afférentes. Vous êtes conscient que vous n’avez donc pas pris la bonne décision.

Comment fonctionnent les pièges de la pensée ?

Croyances limitantes - La confiance en soi favorise la victoireCroyances limitantes – La confiance en soi favorise la victoire

Le jugement

Le premier piège de la pensée que je vous donne est le jugement. Arrêtez de vous juger. En effet, l’action de juger est comme une action en justice par laquelle vous vous condamnez comme s’il n’y avait pas de retour en arrière. Cette petite voix de jugement en vous, vous rappelle combien vous n’avez pas de succès et vous ne le méritez pas. Vous allez donc sans cesse rabâcher des choses sur le fait que vous vous êtes jugé. Ce que vous ignorez, c’est qu’il n’y a que vous qui remarquez le jugement. En effet, dans votre situation ou au moment où vous avez pris cette décision, c’était certainement la bonne décision à prendre, et il n’y a pas de regrets à avoir. A chaque fois que vous vous jugez, vous vous enlevez les opportunités d’avoir plus de choix, mais surtout d’avoir une autre vision de vous-même.

Ainsi, chaque fois que vous vous jugez durement, posez-vous la question : « Qui dit cela ? ». Est-ce le faible ou le peureux en moi qui dit cela et qui réfléchit ainsi ? Ou alors est-ce que c’est une partie de moi qui veut me donner un message ? La plupart du temps, votre cerveau n’est pas un ennemi. En effet, c’est généralement la représentation interne soit d’une émotion, soit d’un point sur lequel votre mental attire votre attention. En réalité, derrière, il y a une peur, peut-être une colère, ou peut-être même une tristesse. Vous devez donc vous poser la question : est-ce une peur légitime ou illégitime, complètement irrationnelle ? Pour cela, vous devez commencer à le détecter avec le jugement que vous vous portez à vous-même.

La justification

Le second piège de la pensée que nous abordons est la justification. Si vous faites partie des personnes qui passent leur temps à se justifier avant de dire « Non » à quelqu’un, alors vous risquez d’avoir énormément de problèmes plus tard. Imaginez quelqu’un qui vous fait une offre et vous n’arrivez pas à dire « Non » d’emblée. En effet, cette capacité de dire « Non » est aussi une capacité à arrêter de se justifier. En effet, plus vous vous justifiez et plus vous argumentez par rapport aux choses qui ne vous font pas du bien, et qui alimentent vos schémas de croyances limitantes.

C’est comme une personne qui va dire « Non » à une proposition de bien, elle va passer une heure à argumenter et à justifier sa réponse. Eh bien, si c’est « Non », c’est « Non ». Arrêtez de vous justifier. En effet, plus vous continuez, et plus cela crée d’autres schémas de faiblesses en vous, qui à leur tour iront chercher d’autres blessures.

L’extrapolation

Le troisième piège de la pensée est l’extrapolation. Elle représente une généralisation et une déduction surévaluée d’une situation dans laquelle vous vous trouvez. Si vous avez une finalité négative sur l’extrapolation, vous verrez qu’en fait vous allez extrapoler en disant par exemple : « Si j’achète ce bien, je risque d’avoir des problèmes avec l’autre, avec le voisin ou avec d’autres personnes. ». Alors qu’en réalité, vous n’en savez absolument rien.  Autrement dit, l’exploration vient rajouter des peurs sur ce que vous vivez déjà. Donc plus vous extrapolez, moins vous êtes dans le rationnel et plus vos peurs grandissent.

La supposition

Le quatrième piège de la pensée est la supposition. En effet, les suppositions représentent des hypothèses hypothétiques. Elles sont excellentes quand vous voulez vous convaincre qu’il ne faut pas faire une chose. Imaginons que vous devez aller visiter un bien. Une fois sur les lieux, vous trouvez que l’appartement est bon et vous demandez par exemple au vendeur combien de remise il peut vous faire ou alors comment vous êtes censé gérer un problème avec votre futur voisin. Vous remarquez donc que plus vous supposez les choses et moins vous vous accordez l’autorisation d’agir et de réaliser les choses importantes dans votre vie. Vous devenez ainsi dans votre tête le Spillberg de la situation dans laquelle vous êtes. Ceci représente le point bloquant des trois quarts des personnes.

En effet, ces suppositions à la longue s’apparentent aux comparaisons. Ces dernières vont dans le sens par exemple de : « Oui, j’ai acheté un appartement, mais lui il en a pris un plus grand ; il a certainement plus de chance que moi ». En ce faisant, vous passez votre vie à vous comparer aux autres. Il faut savoir que la comparaison est le meilleur outil de destruction de l’estime de soi. Si vous tenez à vous mettre six pieds sous terre, alors comparez-vous sans cesse. En ce sens, d’aucuns ont traité la comparaison en ces termes : « Quand je m’écoute, je me désole ; Quand je me compare, je me console ».

Vous comprenez que la seule personne à qui vous devez vous comparer si vous y tenez vraiment, est l’ancienne version de vous ; c’est-à-dire ce que vous étiez hier. C’est le seul chemin possible et imaginable pour vous développer personnellement et professionnellement. Ce que je vous conseille est de ne regarder que ce que vous faites et de choisir peut-être un mentor (une personne qui vous donne la marche à suivre) qui vous conseille.

Mais, ne suivez pas les personnes qui font la même chose que vous, car si vous passez votre temps à suivre ces personnes, vous risquez de regarder ce qu’elles font et vous allez vous polluer vous-même avec cela. Cela ne vous sert strictement à rien. A titre d’exemple, j’ai arrêté de suivre toutes les personnes qui font le même métier que moi, et je n’ai jamais eu autant de clients qu’aujourd’hui. L’idée ici est donc de vous reconnecter à qui vous êtes, ce que vous aimez et ce qui fait que vous êtes unique. Sachez que vous êtes tous uniques.

L’interprétation

Le dernier élément dans les pièges de la pensée est l’interprétation. Par exemple, j’interprète que parce qu’une connaissance à moi a acheté des biens dans une localité, alors cela est censé être bien. Alors, je fais pareil pour finir par remarquer plus tard que mon investissement n’est pas viable. En effet, peut-être que ma connaissance a simplement bénéficié d’une opportunité unique à un moment précis dans cette localité ; ce qui lui a permis de faire son acquisition. L’interprétation consiste donc souvent à interpréter une situation que vous voyez. Cela représente déjà en soi des croyances limitantes.

Les croyances limitantes : les pièges du langage

Voyons à présent les pièges du langage. Il s’agit de ce que vous dites au quotidien. A ce niveau, les trois pièges que vous devez éviter sont la généralisation, l’omission et la distorsion.

La généralisation

Il s’agit ici de la généralisation quand vous parlez d’un sujet. Des phrases comme : « J’ai toujours le trac quand je prends la parole devant le banquier ». Quand vous dites cela, le mot qui signale qu’il s’agit d’une généralisation est le mot « Toujours ». Lorsque vous utilisez des mots comme « Toujours », ou « Jamais », ou « Tout le temps », ou encore « A chaque fois », vous êtes en train de généraliser une situation. Sachez qu’il n’y a rien de pire pour alimenter vos peurs, vos croyances limitantes et tout ce qui vous empêche de réaliser des choses extraordinaires.

L’idée ici est donc de parvenir à sortir des généralisations que vous avez en tête. Pour preuve, pourrez-vous affirmer que, même pas une fois par le passé vous n’avez pas été capable de faire cette chose pour laquelle vous venez d’employer les mots « Toujours » et « Jamais » ? C’est justement cela la généralisation. Très rapidement, vous vous englobez dans une affirmation qui ne vous est pas avantageuse. Vous la répétez sans plus prêter attention à l’effet néfaste que cela a eu jusque-là dans votre existence.

L’omission

L’omission représente une sélection de ce que vous voulez garder ou pas en vous. L’idée est en effet assez simple. Pour schématiser, imaginez un instant que vous avez un client qui a formé plus de 800 personnes durant une formation qu’il a donnée. Mais ce client a voulu arrêter la formation à cause de 03 personnes qui l’avaient critiqué dans le lot des 800 personnes. Lorsque vous demandez à ce client pourquoi il veut arrêter la formation, il vous répond qu’il y a 03 personnes qui l’ont critiqué pendant qu’il donnait la formation.

Vous vous étonnez certainement à cause du nombre (03 sur 800). Une fois encore, vous êtes probablement stupéfaits. Vous voyez ici, ce client omet le fait qu’il a aidé 797 personnes à travers sa formation. En revanche, il ne se focalise que sur les 03 personnes qui l’ont critiqué, c’est-à-dire la partie très infime de la grande réalisation qu’il a accomplie. Cela peut justement se rapporter à vous aussi.

Estimons que vous trouvez un bien et vous reconnaissez ses atouts et ses avantages. Mais, vous ne vous focalisez que sur ses quelques limites et imperfections (parfois vraiment minimes) que vous appréciez moins. Ce faisant, vous allez plomber votre investissement et rater probablement une super affaire. Cette tendance d’omission vous poussera constamment à ne penser qu’aux parties les moins signifiantes d’échec dans vos processus d’apprentissage et de confiance en soi.

L’idée ici est alors de vous sortir de ce schéma et de vous convaincre qu’il y a un autre élément à considérer. Il y a une valeur positive que vous pouvez percevoir. Dans le domaine immobilier par exemple, vous pouvez choisir de retracer le plan d’un bien autrement afin de le regarder sous un nouvel angle. Vous pourrez ainsi imaginer différemment l’avenir du bien que vous êtes en train d’acquérir en ce moment précis. Cela ouvrira donc plus de perspectives.

La distorsion

La distorsion, troisième piège du langage, vous amène à distordre la réalité. Tout d’abord, il est important de souligner ici que votre métier, en tant qu’investisseur est un métier du relationnel. Autrement dit, c’est le réseau et le relationnel que vous créez qui entraînent les succès que vous connaissez dans votre affaire ou dans votre entreprise. Ainsi, toutes les personnes qui acceptent de travailler ou collaborer avec vous le font en raison des types de relation que vous entretenez avec elles.

De ce fait, que ce soit avec un banquier ou un agent immobilier, vous devez développer la capacité à sortir de tous vos schémas, à vous connecter à la personne en face de vous et à enlever cette distorsion qui vous freine et qui vous ralentit. En effet, c’est cela qui fait que les personnes manifestent ou non la volonté de travailler avec vous. En outre, c’est cela qui leur fera avoir confiance en vous et en vos idées. Sachez que ceci est tout autant valable dans votre monde professionnel que personnel.

Comment se débarrasser des croyances limitantes ?

Croyances limitantes - Passer àl'action est la solution
Croyances limitantes – Passer àl’action est la solution

Croyances limitantes : Les questions fondamentales à se poser

Maintenant que nous avons vu comment identifier ces divers schémas avec les pièges de la pensée et ceux du langage, abordons comment vous pourrez vous y prendre pour vous en sortir. Pour cela, nous allons débuter par trois questions de clarification extrêmement puissantes qui vous permettront d’y voir plus clair à chaque fois que vous serez confronté à l’un des pièges mentionnés plus haut. La première question est de vous recentrer rapidement en vous demandant : « Qu’est-ce qui dépend de moi ? ». Posez-vous la question  de savoir ce qui dépend réellement de votre contrôle, et sur lequel vous pouvez agir immédiatement. Ceci représente en effet une question extrêmement puissante qui vous permettra de tout clarifier immédiatement. Dans le même élan, la seconde question est de vous demander : « Qu’est-ce qui ne dépend pas de moi ? ». Evidemment, de tels questionnements peuvent vous replonger dans la peur, la crainte et les éléments cités ci-dessus.

C’est à ce niveau que vous devez clarifier rapidement avec vous-même toutes les choses qui ne dépendent pas de vous et sur lesquelles vous n’avez pas de contrôle. Par exemple, les surprises durant la réalisation de certains travaux immobiliers peuvent ne pas du tout dépendre de vous. Vous comprenez donc que ces deux questions recentrent la notion de la responsabilité : quelle est votre responsabilité et sur quoi vous devez agir obligatoirement pour résoudre la situation à laquelle vous faites face?

En d’autres termes, vous allez agir sur tout ce qui dépend de vous par anticipation et avec une  certaine clarté. Plus de place donc pour le doute ou pour les émotions qui nous emballent sous le coup de l’indécision et du manque de confiance en soi. Enfin la troisième question fondamentale consiste à vous demander : « Qu’est-ce qu’il y a de bon à prendre et à apprendre dans ce que je vis ici et maintenant ? ». Retenez que le groupe de mots « ici et maintenant » est important, car il permet de vous connecter à ce que vous devez gérer ; ce qui dépend de vous.

A partir de ce point, ce qu’il y a de bon à prendre et à apprendre est de regarder quelle leçon vous pouvez tirer de cette situation. En effet, peu importe le nombre d’échecs ou de difficultés que vous allez rencontrer. C’est encore une fois votre capacité relationnelle, avec vous-même, à accepter la situation, à vous pardonner parce que vous avez fait une erreur, et à aller de l’avant, qui fera toute la différence.

Le rôle de l’auto-bienveillance dans le débarras des croyances limitantes

C’est en effet cette capacité qu’il va falloir travailler avec un paramètre primordial qu’est la bienveillance. Soyez bienveillant envers vous-même. Lorsque vous prenez par exemple un enfant de 1 à 2 ans qui veut apprendre à marcher, il va tomber en moyenne cent mille fois. Mais à aucun moment, cet enfant ne se demande : « Est-ce que je suis légitime pour marcher ? ». Mieux, je reste convaincu qu’il ne vous est jamais arrivé de dire à votre garçon de 2 ans : « Mais arrête d’essayer de marcher, tu vas tomber ». Cela n’a pas de sens. Pourtant, sachez que c’est la même chose que vous vivez dans la situation que vous traversez actuellement, notamment dans les débuts de ce que vous faites.

C’est le cas par exemple lorsque votre banquier n’est pas disposé à vous écouter ou lorsque vos locataires ne vous comprennent point. C’est tout un  apprentissage d’être bienveillant envers soi-même.

Pour preuve, je parie que la première fois que vous avez investi dans quelque domaine que ce soit, vous n’y maîtrisiez pas forcément tous les tenants et aboutissants. Justement, tout cela résulte de votre apprentissage.  Vous devez demeurer bienveillant envers vous-même, et ce, en dépit des erreurs et faux-pas qui apparaîtront sur le chemin. En effet, si vous n’avez pas de bienveillance envers vous-même, alors ne comptez pas sur votre entourage pour en avoir. Que vous passiez du salariat à l’entrepreneuriat, il n’en a aucune.

Soyez bienveillant envers vous-même et n’écoutez que vous. Si vous devez écouter votre entourage, tâchez d’être dans un environnement constitué de personnes de vision positive qui vous poussent à vous surpasser et tenter de nouvelles choses. Ce sont des personnes qui savent ce que vous faites et qui comprennent ce que vous faites. Ne vous entourez surtout pas de personnes qui vous rabaissent ou qui se moquent complètement de vos rêves et de vos ambitions. Ces personnes n’ont peut-être pas fait le cinquième de ce que vous avez déjà réalisé et ne seront donc en aucun cas bienveillantes envers vous. Non seulement elles ne pourront pas l’être parce qu’elles n’en savent certainement rien, mais également parce qu’elles n’ont pas vécu votre expérience et ne sont pas passées par vos réalités.

Recommandations pour se débarrasser des croyances limitantes

Se poser les bonnes questions

Au-delà de ces trois questions capitales que vous devez vous poser, vous pourrez également vous demander, lorsque vous avez des croyances limitantes, « Mais qui dit ça ? », et « Par rapport à quoi » ? Par exemple, lorsque quelqu’un vous dit qu’un bien est cher, vous pourrez vous demander : « Il est cher, ok. Mais par rapport à quoi ? ».  Est-ce par rapport au marché ou aux croyances de la personne qui vous le dit, ou encore par rapport au budget que vous voulez y mettre ? En vous posant ces questions, vous parviendrez  à clarifier les choses. Plus vous allez clarifier, et plus vos schémas de peur d’avancer vont disparaître.

Explorer la carte du monde de l’autre

En PNL, on appelle cela « explorer la carte du monde de l’autre ». Pour mieux l’expliquer, imaginez par exemple que vous allez voir le propriétaire d’un bien qu’il veut vendre. Il pense que son bien est le meilleur et qu’il vaut par exemple 200.000 euros alors que vous, vous ne seriez prêt à lui donner que 100.000 euros. Alors, l’idée ici est d’aller interroger l’autre et d’aller explorer sa carte pour voir dans la négociation comment et à quel niveau ce dernier place la valeur de son bien. Dès que vous avez trouvé ce point, vous pouvez facilement placer votre offre.

Vous ne devez pas oublier qu’à chaque fois que vous faites quelque chose, il y a une intention positive dans ce que vous êtes en train de faire. J’en veux pour preuve que si vous lisez cet article aujourd’hui, c’est parce que vous avez soif de liberté. C’est cette liberté que vous construisez à chaque pas ou à chaque action que vous effectuez. Restez vraiment focus sur le fait que tout ceci n’est qu’un apprentissage et que vous apprenez à chaque pas. Chaque pas vous rapproche à coup sûr du niveau ultime que vous souhaitez atteindre dans le domaine. Accordez-vous une chance, plus une nouvelle chance, et ainsi de suite jusqu’à ce que vous ayez réussi. Surtout, apprenez de vos expériences précédentes pour mieux aborder les prochaines occasions.

L’échec n’existe pas

La troisième chose capitale pour sortir de ces schémas de limitation est de vous dire clairement que l’échec n’existe pas. L’échec n’existe pas parce qu’en fait il n’y a que du feedback. Un refus que vous connaissez par exemple ou une situation qui ne se passe pas comme vous le souhaitez veut tout simplement dire que ce n’est pas le bon moment, la bonne personne et le bon endroit. Quand vous essuyez le refus d’un banquier par exemple, cela ne représente pas un échec. Cela veut alors simplement dire que ce n’était pas le bon moment.

En fait, c’est vous qui allez mettre une émotion sur cette situation afin de vous créer des peurs qui se traduisent par des phrases telles que : « je suis nul » ; « je n’ai pas dire les choses comme il le fallait » etc. Vous allez vous juger en retombant dans les schémas évoqués plus haut. Mais à partir du moment où vous comprenez que l’échec n’existe pas et que chaque situation a un feedback, vous allez pouvoir avancer.

Le corps et l’esprit s’influencent

Si  par exemple vous arrivez devant votre banquier l’air timide et une mauvaise posture ; il est certain que ce dernier aura du mal à vous accorder le prêt que vous cherchez. En effet, la posture et le fameux centimètre dont on parle souvent se traduisent juste par le fait de se redresser afin de créer ce qu’on appelle des ancrages. Sachez que votre corps vous fournit quotidiennement des ancrages. Faites un essai à chaque fois que vous êtes triste ou en larmes. Vous remarquerez que vos épaules s’affaissent et votre tête penche vers l’avant. Cela transmet directement un message clair à votre cerveau et à votre âme : « je pleure et je suis triste ».

Vous êtes votre entreprise

Quand vous entreprenez, vous devez comprendre que vous êtes le leader de votre entreprise. Celle-ci n’est pas un site internet, une carte de visite, un local ou encore un logo ; il faut que vous sortiez ou alliez au-delà de ces croyances limitantes. Vous êtes l’unique personne qui incarne votre entreprise et il vous revient également de déterminer la manière dont vous désirez l’incarner. Si vous ne comprenez pas que cela est une stratégie essentielle pour les négociations, votre corps sera toujours diminué et vous aurez les mêmes comportements qui vont déboucher sur les mêmes résultats.

IL est important que vous corrigiez votre corps et votre esprit afin d’opérer des changements significatifs  surtout au niveau de votre relationnel.

Vous avez en vous les ressources pour réussir dans la vie

Quoi que vous fassiez, vous pouvez tout réussir à condition de mettre en application ce qui a été dit ci-dessus. Alors, pour reprogrammer les croyances limitantes, vous allez devoir franchir cinq étapes assez simples.

Identifiez votre croyance limitante

Une fois la croyance limitante identifiée, faites une reformulation positive de cette dernière. Essayez de renommer les mots. Quand vous faites face à un obstacle, dites-vous qu’il y a un challenge. Au lieu d’être triste après le refus d’un banquier par exemple, dites-vous simplement que c’est une opportunité pour aller voir une autre banque. L’idée ici est de renommer les choses afin d’accéder à une nouvelle croyance aidante.

Prenez l’exemple des entrepreneurs à succès

Il y a une multitude d’histoires dans l’entrepreneuriat qui peuvent illustrer ce qu’on essaie d’expliquer. Mais on vous raconte ici la petite histoire de KFC (Colonel Sanders).

Le Colonel Sanders a pratiquement frappé à toutes les portes des restaurants qui se trouvaient dans son pays (Kentucky), et il a essuyé environ 1000 refus. Mais, arrivé au  niveau du 1001ème, il y une personne qui a apprécié sa recette et a décidé de l’aider. C’est exactement la même chose qui se passe avec le banquier. Plus vous essuierez des refus, plus vous allez créer de nouvelles opportunités en allant vers d’autres banques. Si la 1000ème n’est pas la bonne, sachez que la 1001ème peut l’être. Cela retrace un peu l’histoire de tous les entrepreneurs qui prennent appui sur la persévérance. Sans cette dernière, vous ne pourrez vivre la vie dont vous rêvez. Pour persévérer, il est nécessaire de se débarrasser de ses croyances limitantes afin d’intégrer pleinement les croyances aidantes.

Interrogez votre nouvelle croyance aidante

Il est important que vous interrogiez la nouvelle croyance que vous avez mise en place. Cette interrogation consiste simplement à lister les avantages et les inconvénients de cette croyance aidante qui vont vous aider à avancer. En effet, quand on installe de nouvelles habitudes dans sa vie, il y a des côtés positifs et des côtés négatifs. Donc il faudra forcément déterminer si cette croyance nécessite des ajustements dans votre manière de parler ou d’exprimer les choses. Il faut aussi notifier que si vous n’avez pas réussi une première fois, peut-être que cela nécessitait simplement des ajustements sur le relationnel que vous avez eu avec la personne. C’est pourquoi la question « Qu’est-ce qu’il y a de bon à prendre et à apprendre dans ce que je viens de vivre ici et maintenant » est fondamentale. Si vous n’avez pas pu obtenir de crédit avec un banquier, posez-vous les questions :

–              Qu’est-ce que j’ai foiré ?

–              Comment je l’ai formulé ?

–              Comment était ma posture.

–              Ai-je utilisé les bons mots ?

Les réponses à ces questions vont vous permettre de clarifier la situation et sortir de vos peurs. Vous allez ainsi pouvoir analyser les avantages et les inconvénients de votre nouvelle croyance.

Créez-vous un nouvel ancrage

Il y a par exemple une personne qui s’est créé un nouvel ancrage qui dit : tout ce que je fais, je le réussis. Donc, est-ce qu’il serait intéressant pour vous de créer une croyance pareille qui peut se traduire par : « chaque fois que je vois un banquier, il signe avec moi ». En réalité, cela s’appelle de l’intention positive.  Cette intention est dans votre tête dès le départ,. A chaque fois que vous allez serrer la main de votre banquier ou de quelqu’un, c’est de vous dire automatiquement que vous avez déjà réussi à conclure positivement avec lui et à obtenir ce que vous désirez. Dès que vous instaurez cette intention dans votre esprit ou dans votre mental, plus rien ne vous arrêtera.

Affichez cette croyance le maximum possible

Vous devez placer cette croyance dans tous les endroits possibles. Ecrivez-la sur votre téléphone, une feuille, un mur, un bureau, un tableau, un frigo etc. Plus vous allez affirmer cette croyance (à chaque fois que je rencontre un banquier, il signe avec moi), plus vous ferez ce que dit la croyance, et plus votre cerveau y croira. Vous devez en réalité comprendre que le cerveau n’a pas de spatialité. En effet, le cerveau ou le mental, est capable de retenir les ancrages dont vous n’avez aucune idée, car pour lui, le passé, le présent et le futur n’existent pas. Donc le cerveau croit uniquement à l’ancrage émotionnel qu’il vit. Si on vous demande par exemple : où est-ce que vous étiez le 18 décembre 1997 à 18 heures 39 précises ? Vous allez surement répondre que vous ne saviez pas ou vous ne vous en rappelez plus du tout.

En revanche, si on vous donnait un ancrage en vous demandant : où est-ce que vous étiez le 11 septembre 2001 ? Vous allez pouvoir vous en souvenir assez rapidement. En fait, cette date est liée à un ancrage émotionnel mondial : les deux tours jumelles ont été percutées par deux avions à New York, plus précisément dans le centre de Manhattan. C’est ainsi que le cerveau humain réagit. En lui disant que le banquier conclura positivement avec vous, c’est comme si vous lui disiez que c’est la vérité. Le mental se fiche de savoir si ce que vous lui dites est au passé, futur ou au présent.

Il est  important que vous notiez au quotidien ces ancrages ou affirmations le plus de fois possibles. Abreuvez-vous de cela tous les jours et vous supprimerez rapidement vos croyances limitantes.

Croyances limitantes : L’importance des sujets évoqués

Même si tout ce qu’on vient d’évoquer ne vous paraît pas nouveau, il est essentiel de le retravailler. En maîtrisant chacun de ces éléments, vous deviendrez une meilleure version de vous même dans la relation que vous entretenez avec vous-même et dans celle que vous avez avec les autres. Cela vous aidera à avoir différentes actions qui déboucheront sur des résultats exceptionnels. Vous allez pouvoir mettre en place des mécanismes pour atteindre des performances que cela soit avec votre banquier ou d’autres types de recherches.

Quand vous êtes obnubilé par votre croyance aidante, vous avez déjà accompli votre désir ou votre souhait. Le reste n’est qu’une question de temps avant que cela ne se concrétise. Lorsque vous avez la maîtrise ou le contrôle de votre cerveau, cela prendra juste quelques jours pour la matérialisation de votre objectif, et il sera à coup sûr atteint. Gardez à l’idée que le mental est le point de départ de toute chose.

Croyances limitantes : Votre cerveau est le point de départ

L’analytique, les compétences et les connaissances sont aussi d’une grande importance. Mais, il y a l’aspect mental et les schémas que le cerveau nous renvoie, qu’il faut parvenir à identifier afin d’agir et  se comporter de manière plus efficace. Il faudra donc passer à l’action et ne pas demeurer le souffre-douleur de son propre mental. Ne laissez  pas les croyances limitantes vous limiter.

Croyances limitantes : Exercice à faire si vous avez du mal à dire non

Si vous avez du mal à dire non aux autres, mettez simplement en pratique cette petite astuce. Prenez juste 48 heures (2 jours) à dire non à tout et à tout le monde. Cette pratique permet non seulement de calmer directement le mental, mais aussi les personnes qui sont autour de vous. Vous parvenez ainsi à éduquer votre entourage à ce qu’il comprenne que vous avez une zone de vie à ne pas empiéter. Souvent, vous commettez l’erreur de croire que vous devez impérativement vous justifier, ce qui n’est pas du tout le cas. C’est juste un mécanisme naturel du cerveau  car il a horreur du vide. Par exemple, si vous arrêtez de parler, vous créerez un vide. Cela ne plaira pas du tout à votre cerveau. Vous vous justifiez simplement pour combler ce vide.

Croyances limitantes : L’utilité de cet exercice

En pratiquant cet exercice pendant 48 heures vous verrez un grand changement, et votre entourage sera choqué par cette nouvelle attitude que vous adoptez. Cela vous permettra de réaffirmer ce qui vous appartient, parce qu’en disant non aux autres, vous dites oui à vous-même.

La mise en pratique de cet exercice ne se limite pas seulement à votre entourage. Vous pouvez aussi l’appliquer à votre banquier, à un agent immobilier, et aussi lors de vos différentes négociations. Pour généraliser, cet exerce peut être mis en pratique dans votre vie de tous les jours. La personne qui est sûre d’elle, qui sait ce qu’elle fait et ce qu’elle veut ne se justifiera pas.

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